La France Mutualiste investit dans la préservation des océans

L’océan absorbe 25% des émissions de CO2 dues aux activités humaines et capture 90% de la chaleur supplémentaire générée par ces émissions.
(Source : ONU)

Préservation des océans

C’est un bien commun à préserver, car les océans sont incontournables dans l’atténuation du réchauffement, et votre fonds en euros contient plusieurs supports d’investissement qui y contribuent. 
De manière générale, 49% des investissements de La France Mutualiste en obligations ont été réalisés en 2022 sur des obligations vertes, sociales ou liées aux objectifs de développement durable de l’ONU.

Une obligation qui contribue par un don à la lutte contre le déversement de plastiques dans l’océan

Pierre Laly, gérant et analyste certifié RSE (Responsabilité sociétale des entreprises)« Depuis février 2023, nous aidons au financement d’un bateau de récupération de plastiques. Ce bateau de rivière contribuera à stopper, en amont, le déversement de plastiques dans l’immensité des océans déjà très pollués. L’argent versé à l’association The Ocean Cleanup est en fait un don compris dans le prix d’une obligation. C’est un mécanisme financier qui vient servir une cause vitale pour notre planète, puisque 90 % des déchets qui se déversent dans les océans dans le monde proviennent de 10 fleuves. Il faut donc traiter le problème à la source.   
Cette innovation est proposée aux investisseurs institutionnels identifiés par le marché comme « responsables ». La France Mutualiste a donc été contactée en premier par l’émetteur de l’obligation. L’opération est doublement intéressante pour nos adhérents puisque le don à l’association ne dégrade pas le rendement de l'obligation et traite efficacement la pollution marine. »

Pierre Laly, gérant et analyste certifié RSE (Responsabilité sociétale des entreprises)

Une obligation « bleue » achetée pour le fonds en euros de La France Mutualiste protège la barrière de corail de Bélize

En 2022, nous avons investi dans une obligation « bleue », coordonnée par une organisation non gouvernementale (ONG) américaine, The Nature Conservancy, au bénéfice de l’État du Bélize. Une obligation « bleue », c'est un instrument d'emprunt, ici émis par une ONG, qui finance directement des projets marins et océaniques. 
Cette opération financière est conditionnée par l’engagement du Bélize d’investir dans la conservation des ressources maritimes, notamment dans l’objectif de protéger 30 % de ses eaux d’ici 2026… C’est-à-dire demain ! 
 

L’enjeu est de taille : cet État d’Amérique centrale est connu pour sa barrière de corail, la deuxième plus importante au monde. Un trésor de biodiversité et une protection indispensable pour les populations locales contre les catastrophes naturelles et le changement climatique. Cette obligation doit ainsi permettre au Bélize de se développer via l’écotourisme, qui contribuera à améliorer la santé économique du pays sans en détruire les ressources naturelles (comme a su le faire le Costa Rica). 

L’obligation « bleue » du Bélize a été distinguée en 2022 par plusieurs organismes financiers internationaux en tant qu’ « Obligation durable la plus innovante » ou encore « Obligation souveraine durable de l’année ».